“Qui trop embrasse manque le train.”
Calembourg construit sur le proverbe : "Qui trop embrasse mal étreint".
Dans "Proverbes expliqués" ( Desalmand, stalloni - 2014) , les auteurs attribuent à Robert Desnos le mot : "Qui trop embrasse, rate le train" ( source ? )
“Qui trop embrasse mal étreint.”
A trop vouloir, on ne réussit rien.
Il faut prendre le verbe embrasser dans son ancien sens "prendre dans ses bras".