“Les seuls gens qui existent sont ceux qui ont la démence de vivre, de discourir, d'être sauvés, qui veulent jouir de tout dans un seul instant, ceux qui ne savent pas bâiller.”Sur la route
Autre traduction : " les seules gens qui existent pour moi sont les déments, ceux qui ont la démence de vivre, la démence de discourir, la démence d’être sauvés, qui veulent jouir de tout dans un seul instant, ceux qui ne savent pas bâiller ni sortir un lieu commun mais qui brûlent, qui brûlent, pareils aux fabuleux feux jaunes des chandelles romaines explosant comme des poêles à frire à travers les étoiles."
En anglais : "the only people for me are the mad ones, the ones who are mad to live, mad to talk, mad to be saved, desirous of everything at the same time, the ones who never yawn or say a commonplace thing, but burn, burn, burn like fabulous yellow roman candles exploding like spiders across the stars."
“J'aimerais mieux que mon étincelle brûle avec une brillante flamme, plutôt qu'elle soit étouffée par la sécheresse de la pourriture, j'aimerais mieux être un superbe météore, chacun de mes atomes irradiant d'un magnifique éclat, plutôt qu'une planète endormie.”
Cité par Noël Mauberret dans la préface "solitaire, solidaire ?" de "Le Dieu rouge" , ed. Phébus libretto
En anglais : "I would rather be a superb meteor, every atom of me in magnificent glow, than a sleepy and permanent planet."