Ecrivain, scénariste et parolier français.
“Marcher, c'est retrouver son instinct primitif, sa place et sa vraie position, son équilibre mental et physique. C'est aller avec soi, sans autre recours que ses jambes et sa tête. Sans autre moteur que celui du coeur, celui du moral.”Marches et rêves
“Plus les gens sont intelligents, plus ils sont compliqués.”Café crime
“Non, l'homme n'est pas un vêtement qu'on défroisse d'un coup de fer à repasser. Quand le couple est usé, démoli, décousu, plus qu'une seule chose à faire : le jeter.”Les transsibériennes
“Et si l'amour n'était que cela: une histoire qui s'écrit au coup par coup en alignant les déséquilibres?”Café crime
“Non jamais je ne conteste,
Ni revendique ni ne proteste
Je ne sais faire qu'un seul geste,
Celui de retourner ma veste, de retourner ma veste,
Toujours du bon côté.”
Paroles de la chanson L'Opportuniste
Chanson interprétée par Jacques Dutronc
“Le monde entier est un cactus ...
Moi je me pique de le savoir
Aïe aïe aïe, ouille, aïe aïe aïe.”
Paroles de la chanson Les cactus
Chanson interprétée par Jacques Dutronc
“Il est cinq heures - Paris se lève - Il est cinq heures - Je n'ai pas sommeil.”
Paroles de la chanson Il est cinq heures, Paris s'éveille
Chanson interprétée par Jacques Dutronc
“Le romancier n'inventera jamais davantage de perversions qu'il n'en existe réellement. En revanche, il peut encore inventer du merveilleux et du magique car rares sont ces accessoires du bonheur dans le bazar de la vie quotidienne.”Le dieu des papillons
“J'ai dû attendre ma première répartition Sacem en janvier 1967 avant commencer à vivre comme un faux riche, c'est à dire à dépenser sans compter. Une erreur que les vrais riches ne commettent jamais.”Le voleur de hasards
“Qui nous dit que le monde a été créé par Dieu ? Qui nous que le monde n'existait pas avant Dieu ? Qui nous dit que le monde n'a pas été créé par Dieu ? Et, après tout, si Dieu n'était que le fameux big bang ? Si Dieu n'était qu'une explosion de colère ? Une terrible explosion dont la rage nous irradie encore ?”
Dialogue avec Jean Guitton, in Paris Match ( 24 novembre 1994)