“Dès qu'un homme politique se résigne, il est perdu.”Histoire de la Révolution française
Volume 3 , p.192
“Dès qu'un homme se résigne, il est perdu !”Les forces perdues
Extrait : "Michelet dit quelque part dans son Histoire de la Révolution : « Dès qu'un homme politique se résigne, il est perdu. » On peut généraliser cette pensée vraie et dire : Dès qu'un homme politique se résigne, il est perdu ! En effet, plus la défaite a été radicale, plus la résistance doit être vive; tout vaincu est coupable, jusqu'à un certain point, car les événements eux-mêmes n'ont qu'une force relative que, bien souvent, l'énergie humaine peut neutraliser Ce fut donc là le tort d'Horace, il se résigna." p.165