“Dès qu'un homme se résigne, il est perdu !”Les forces perdues
Extrait : "Michelet dit quelque part dans son Histoire de la Révolution : « Dès qu'un homme politique se résigne, il est perdu. » On peut généraliser cette pensée vraie et dire : Dès qu'un homme politique se résigne, il est perdu ! En effet, plus la défaite a été radicale, plus la résistance doit être vive; tout vaincu est coupable, jusqu'à un certain point, car les événements eux-mêmes n'ont qu'une force relative que, bien souvent, l'énergie humaine peut neutraliser Ce fut donc là le tort d'Horace, il se résigna." p.165
“Dès qu'un homme politique se résigne, il est perdu.”Histoire de la Révolution française
Volume 3 , p.192