“En déportation, j'ai appris qu'il existe une limite au-delà de laquelle on trouve surtout des sentiments acides : le mensonge, la rage, l'abandon, l'égoïsme, la défiance. Nous portons chacun notre propre caricature. Il suffit souvent de quelques jours à peine pour que le masque tombe à terre. La statue intérieure se brise”