“Je ne suis pas une militante dans l'âme, mais je me sens féministe, très solidaire des femmes quelles qu'elles soient… Je me sens plus en sécurité avec des femmes, peut-être est-ce dû à la déportation ? Au camp, leur aide était désintéressée, généreuse, pas celle des hommes. Et la résistance du sexe dit faible y était aussi plus grande.”
Interview. Propos recueillis par Annick Cojean
“Il n'y a qu'une manière d'être féministe aujourd'hui pour un homme, c'est de se taire enfin sur la féminité. C'est de laisser parler les femmes.”Le féminisme au masculin