“Si je te cueille, ma main te souillera, ô fleur ! Telle que je te vois au sein de la prairie, je te donne en offrande aux Bouddhas du passé, du présent et de l'avenir !”
parole d'un chant de l'impératrice Komio, rapporté par Okakura Kakuzo dans "Le livre du thé" p115