“Notre époque devra dire un grand merci au communisme: grâce à la peur qu'il inspire, les pays non communistes auront fait un gigantesque effort social pour lui retirer sa raison d'être et améliorer la vie de leurs peuples. Il est dommage que l'on puisse répondre: à l'inverse, dans les pays communistes, le prolétariat a senti peser sur lui une main de fer, presque aussi rude que celle qui broya le peuple anglais au début de la révolution industrielle du 19ème siècle.”Les poneys sauvages