“Lorsqu'on a faim, on serre sa ceinture d'un cran, on écrit des lettres, on rêve. Lorsqu'on a froid, on allume une flambée, on bat la semelle, on souffle sur ses doigts. Mais lorsque le cœur s'engloutit peu à peu en des marécages de tristesse, lorsque la souffrance ne vient pas des choses, mais de nous, lorsqu'elle est nous-même tout entier, quel recours ? À quoi se cramponner pour échapper à cet enlisement ? On voit, lorsque l'hiver commence, des fins de jours si lugubres !…”Ceux de 14